Le Messager de Dieu, paix et salut sur lui, a dit : « Le croyant fort est meilleur et plus aimé de Dieu que le croyant faible, et dans chacun il y a du bien. Tiens-toi fermement à ce qui t’est bénéfique, cherche le soutien de Dieu, ne t’affaiblis pas. Et si quelque chose t’atteint, ne dis pas : “Si j’avais fait ceci ou cela, cela aurait été autrement”, mais dis plutôt : “C’est ainsi que Dieu a décrété, et ce qu’Il veut, Il le fait.” En vérité, le “si” ouvre la porte à l’œuvre de Satan. » (Muslim)
Ce hadith établit une voie pour remédier à la faiblesse de la personnalité d’un croyant, en acquérant les qualités de la force et en évitant les sources de la faiblesse. Il propose ainsi un programme pratique, basé sur quatre règles, contenant respectivement deux recommandations fortes et deux interdictions : tiens-toi fermement à ce qui t’est bénéfique, cherche le soutien de Dieu, ne t’affaiblis pas et ne dis pas « si ».
Ce hadith établit une voie pour remédier à la faiblesse de la personnalité d’un croyant, en acquérant les qualités de la force et en évitant les sources de la faiblesse. Il propose ainsi un programme pratique, basé sur quatre règles, contenant respectivement deux recommandations fortes et deux interdictions : tiens-toi fermement à ce qui t’est bénéfique, cherche le soutien de Dieu, ne t’affaiblis pas et ne dis pas « si ».
Tenir à ce qui t’est bénéfique
Tenir à une chose, c’est la désirer avec ardeur et persévérance. Pour le croyant, cela implique maîtrise de soi et mobilisation réfléchie de ses ressources. Le croyant fort ne dilapide pas son énergie dans des futilités : il fixe un objectif clair, avance par étapes mesurées et fait preuve de régularité et de patience face aux obstacles. Son agir découle d’un choix conscient, non d’une impulsion émotionnelle.
Dieu dit : « Et quand les ignorants s’adressent à eux, ils disent (des paroles de) paix », (Coran, sourate 25, verset 63) c’est-à-dire qu’ils choisissent délibérément de ne pas répondre à l’ignorance par l’ignorance, guidés par leurs principes plutôt que par leurs émotions. Comme le rappelle Eleanor Roosevelt, « personne ne peut vous faire du mal sans votre consentement ».
Derrière cette maîtrise, le croyant fort cultive la patience, définie par l’imam Abdeslam Yassine comme la capacité à se contenir, à ne pas céder aux provocations et à persévérer malgré l’échec.
Dieu dit : « Et quand les ignorants s’adressent à eux, ils disent (des paroles de) paix », (Coran, sourate 25, verset 63) c’est-à-dire qu’ils choisissent délibérément de ne pas répondre à l’ignorance par l’ignorance, guidés par leurs principes plutôt que par leurs émotions. Comme le rappelle Eleanor Roosevelt, « personne ne peut vous faire du mal sans votre consentement ».
Derrière cette maîtrise, le croyant fort cultive la patience, définie par l’imam Abdeslam Yassine comme la capacité à se contenir, à ne pas céder aux provocations et à persévérer malgré l’échec.
Maîtrise de soi et présence d’esprit
Le croyant fort sait dominer ses émotions pour garder la lucidité de l’esprit. Le Prophète a dit : « Le fort n’est pas celui qui terrasse les gens, mais celui qui se maîtrise dans la colère. » (Boukhari et Muslim) Car une émotion excessive brouille la raison et conduit à l’erreur.
L’exemple de la mère de Moïse, salut à lui, l’illustre : saisie par la peur de perdre son enfant, elle faillit révéler son secret. Mais Dieu raffermit son cœur, lui permettant de se contenir et de dire à sa fille : « Suis-le ! » Ainsi, sa maîtrise intérieure porta le fruit d’une décision sage, guidée par la foi. Dieu dit : « Et le cœur de la mère de Moïse fut vidé (de toute raison). Elle était sur le point de le révéler, si Nous ne lui avions pas raffermi le cœur afin qu’elle soit parmi les croyantes. Elle dit à sa sœur : "Suis-le !" Et elle l’observait discrètement, sans qu’ils s’en aperçoivent. » (Coran, sourate Le Récit, versets 10-11)
De même, le croyant fort éprouve des sentiments comme tout autre, mais la conscience de la foi lui permet d’évaluer la situation et de décider avec lucidité : poursuivre ou ajuster sa voie.
L’exemple de la mère de Moïse, salut à lui, l’illustre : saisie par la peur de perdre son enfant, elle faillit révéler son secret. Mais Dieu raffermit son cœur, lui permettant de se contenir et de dire à sa fille : « Suis-le ! » Ainsi, sa maîtrise intérieure porta le fruit d’une décision sage, guidée par la foi. Dieu dit : « Et le cœur de la mère de Moïse fut vidé (de toute raison). Elle était sur le point de le révéler, si Nous ne lui avions pas raffermi le cœur afin qu’elle soit parmi les croyantes. Elle dit à sa sœur : "Suis-le !" Et elle l’observait discrètement, sans qu’ils s’en aperçoivent. » (Coran, sourate Le Récit, versets 10-11)
De même, le croyant fort éprouve des sentiments comme tout autre, mais la conscience de la foi lui permet d’évaluer la situation et de décider avec lucidité : poursuivre ou ajuster sa voie.
Calme et humilité
Le faible cède à l’impatience, voulant tout immédiatement, oubliant que chaque chose mûrit en son temps. Dieu dit : « L’Homme a été créé impatient. Je vais vous montrer Mes signes, alors ne soyez pas impatients. » (Coran, sourate 70, versets 19 - 21)
Cette précipitation trahit souvent l’orgueil et le manque d’éducation de l’ego. L’imam Abdeslam Yassine rattache la « modestie » à la vertu de la « lenteur réfléchie », source de foi qui nourrit patience et maîtrise de soi. L’orgueil presse : « Je suis prêt maintenant. » L’humilité, elle, attend patiemment le bon moment, confiante dans le savoir et le timing de Dieu, exalté soit-Il.
Cette précipitation trahit souvent l’orgueil et le manque d’éducation de l’ego. L’imam Abdeslam Yassine rattache la « modestie » à la vertu de la « lenteur réfléchie », source de foi qui nourrit patience et maîtrise de soi. L’orgueil presse : « Je suis prêt maintenant. » L’humilité, elle, attend patiemment le bon moment, confiante dans le savoir et le timing de Dieu, exalté soit-Il.
L’esprit d’initiative
Le croyant fort agit dans son cercle d’influence et confie le reste à Dieu. Le faible hésite, se réfugie derrière les circonstances et perd l’opportunité. À l’inverse, le Prophète Joseph, paix sur lui, saisit l’occasion et déclara au roi : « Assigne-moi les dépôts du territoire : je suis bon gardien et connaisseur. » (Coran, sourate Yûsuf, verset 55)
Il sait que son initiative s’inscrit dans le destin divin et œuvre selon les causes légitimes jusqu’à ce que Dieu ouvre la voie. Interrogé sur les remèdes, les invocations et les protections, le Prophète (PSL) répondit : « Ce sont des parties du destin de Dieu. »
Ainsi, la prudence face à l’émotion et à la précipitation n’est pas résignation ni attente paralysante. Le croyant fort respecte le temps nécessaire à toute réalisation, mais reste toujours en action, car « rien ne se réalise sans temps ni effort ». Comme le dit Omar ibn al-Khattâb, que Dieu l’agrée, lorsque Abou Oubayda, que Dieu l’agrée, lui reprocha de quitter la Syrie à cause de la peste : « Oui, nous fuyons le destin de Dieu vers un autre destin de Dieu. »
Il sait que son initiative s’inscrit dans le destin divin et œuvre selon les causes légitimes jusqu’à ce que Dieu ouvre la voie. Interrogé sur les remèdes, les invocations et les protections, le Prophète (PSL) répondit : « Ce sont des parties du destin de Dieu. »
Ainsi, la prudence face à l’émotion et à la précipitation n’est pas résignation ni attente paralysante. Le croyant fort respecte le temps nécessaire à toute réalisation, mais reste toujours en action, car « rien ne se réalise sans temps ni effort ». Comme le dit Omar ibn al-Khattâb, que Dieu l’agrée, lorsque Abou Oubayda, que Dieu l’agrée, lui reprocha de quitter la Syrie à cause de la peste : « Oui, nous fuyons le destin de Dieu vers un autre destin de Dieu. »
Chercher le soutien de Dieu
Chercher l’aide de Dieu n’est ni dépendance ni attente passive, mais une demande accompagnée d’effort et d’engagement. Le croyant fort agit dans sa sphère de contrôle, confiant en sa capacité d’agir, tout en sachant que la vie est un champ d’épreuves où les difficultés sont inévitables. Sa clairvoyance lui indique quand patienter, quand agir et quand confier l’affaire à Dieu.
L’invocation : Le croyant fort n’est ni agité, ni emporté par un enthousiasme excessif ou l’orgueil, ni écrasé par le désespoir. Il ne se nourrit pas d’illusions ou de vœux pieux qui détournent de la réalité. Sa foi lui donne la lucidité de reconnaître que la vie est lutte et effort, et que les épreuves peuvent sembler insurmontables, étant parfois des purifications divines.
Conscient de sa faiblesse d’homme devant Dieu, il agit d’abord selon les causes légitimes, puis, après avoir tout tenté, il se tourne vers son Seigneur pour y puiser force et facilité. Le Prophète disait : « Ô Dieu, rien n’est facile sauf ce que Tu rends facile, et Tu rends la peine facile si Tu veux. » (Anas ibn Mâlik)
Invocation et action sont indissociables : la première s’exprime par la seconde, qui favorise à son tour son exaucement. L’histoire des trois hommes bloqués dans une grotte l’illustre : après avoir tout tenté pour déplacer le rocher, ils invoquèrent Dieu par leurs bonnes œuvres respectives et furent délivrés par Sa générosité.
La bonne opinion : Le croyant se distingue par une bonne opinion de Dieu et d’autrui, à l’inverse de l’âme faible, marquée par la suspicion envers son Seigneur, l’espionnage des gens, les accusations sans preuve et la focalisation sur le négatif.
Avoir bonne opinion de Dieu, c’est reconnaître sa propre faiblesse, avouer son besoin de Son aide et de Sa miséricorde, et espérer Sa grâce et Sa générosité. Dieu dit : « Dieu ne suffit-Il pas à Son adorateur ? Et ils te font peur avec ce qui est en dehors de Lui. » (Coran, sourate Az-Zumar, versets 36-39)
Certains ont contesté la parole : « Il y a des hommes de Dieu qui, quand ils veulent quelque chose, Dieu veut aussi. » Mais un hadith authentique rapporté par Wathila ibn al-Asqa’ établit : « Dieu dit : Je suis selon ce que Mon serviteur pense de Moi. Qu’il pense ce qu’il veut. » Autrement dit, celui qui espère la miséricorde de Dieu et agit en conséquence verra Dieu se conformer à son opinion ; celui qui doute et se fie à sa propre force sera laissé à lui-même » (Imam Ahmad)
Le Prophète (PSL) a aussi dit : « Le croyant est confiant et généreux, le mécréant est sournois et vil. » (Abu Daoud et Tirmidhi) Naturellement, le croyant garde une bonne opinion au départ, mais si une mauvaise intention se révèle, il devient prudent, car « le croyant ne se fait pas mordre deux fois par la même cavité. » (Boukhari et Muslim)
L’invocation : Le croyant fort n’est ni agité, ni emporté par un enthousiasme excessif ou l’orgueil, ni écrasé par le désespoir. Il ne se nourrit pas d’illusions ou de vœux pieux qui détournent de la réalité. Sa foi lui donne la lucidité de reconnaître que la vie est lutte et effort, et que les épreuves peuvent sembler insurmontables, étant parfois des purifications divines.
Conscient de sa faiblesse d’homme devant Dieu, il agit d’abord selon les causes légitimes, puis, après avoir tout tenté, il se tourne vers son Seigneur pour y puiser force et facilité. Le Prophète disait : « Ô Dieu, rien n’est facile sauf ce que Tu rends facile, et Tu rends la peine facile si Tu veux. » (Anas ibn Mâlik)
Invocation et action sont indissociables : la première s’exprime par la seconde, qui favorise à son tour son exaucement. L’histoire des trois hommes bloqués dans une grotte l’illustre : après avoir tout tenté pour déplacer le rocher, ils invoquèrent Dieu par leurs bonnes œuvres respectives et furent délivrés par Sa générosité.
La bonne opinion : Le croyant se distingue par une bonne opinion de Dieu et d’autrui, à l’inverse de l’âme faible, marquée par la suspicion envers son Seigneur, l’espionnage des gens, les accusations sans preuve et la focalisation sur le négatif.
Avoir bonne opinion de Dieu, c’est reconnaître sa propre faiblesse, avouer son besoin de Son aide et de Sa miséricorde, et espérer Sa grâce et Sa générosité. Dieu dit : « Dieu ne suffit-Il pas à Son adorateur ? Et ils te font peur avec ce qui est en dehors de Lui. » (Coran, sourate Az-Zumar, versets 36-39)
Certains ont contesté la parole : « Il y a des hommes de Dieu qui, quand ils veulent quelque chose, Dieu veut aussi. » Mais un hadith authentique rapporté par Wathila ibn al-Asqa’ établit : « Dieu dit : Je suis selon ce que Mon serviteur pense de Moi. Qu’il pense ce qu’il veut. » Autrement dit, celui qui espère la miséricorde de Dieu et agit en conséquence verra Dieu se conformer à son opinion ; celui qui doute et se fie à sa propre force sera laissé à lui-même » (Imam Ahmad)
Le Prophète (PSL) a aussi dit : « Le croyant est confiant et généreux, le mécréant est sournois et vil. » (Abu Daoud et Tirmidhi) Naturellement, le croyant garde une bonne opinion au départ, mais si une mauvaise intention se révèle, il devient prudent, car « le croyant ne se fait pas mordre deux fois par la même cavité. » (Boukhari et Muslim)
Ne t’affaiblis pas !
Ne pas s’affaiblir, c’est refuser d’abandonner l’effort dans le cadre des causes légitimes, car l’impuissance est une faiblesse blâmable. Elle n’est pas seulement physique : elle naît d’une volonté défaillante et de l’attrait de l’ego pour le repos et la paresse. Celui qui s’y soumet devient esclave de ses désirs, gouverné par ses émotions, entraîné par ses passions, ignorant les conséquences de ses actes et vivant sans rigueur ni discipline.
L’impuissant délaisse l’action qu’il peut entreprendre, attribuant son échec au destin ou aux circonstances. Chaleur d’été, froid d’hiver, beauté du printemps : tout devient prétexte à l’inaction.
Selon un hadith rapporté par Ibn Majah , un pauvre passif vint demander l’aumône au Prophète qui l’orienta vers l’action : il l’aida à vendre un bien, lui fait acheter une corde et une hache, puis lui dit de ramasser et vendre du bois. L’homme réussit et gagna en autonomie. Connaissant les faiblesses humaines, le Prophète (PSL) l’accompagna dans cette transition vers l’initiative, renforçant sa confiance et sa capacité à affronter les défis.
Le combat contre l’impuissance commence en soi : affermir sa volonté, maîtriser ses désirs, s’astreindre à la patience, imposer une discipline à son corps et à ses agissements. Le « Ne t’affaiblis pas » prophétique signifierait, entre autres : poursuis l’effort, accroche-toi à ce que tu peux faire et contrôler, sois patient face à la fatigue et aux obstacles, et ne laisse pas les circonstances éteindre ton esprit d’initiative.
L’impuissant délaisse l’action qu’il peut entreprendre, attribuant son échec au destin ou aux circonstances. Chaleur d’été, froid d’hiver, beauté du printemps : tout devient prétexte à l’inaction.
Selon un hadith rapporté par Ibn Majah , un pauvre passif vint demander l’aumône au Prophète qui l’orienta vers l’action : il l’aida à vendre un bien, lui fait acheter une corde et une hache, puis lui dit de ramasser et vendre du bois. L’homme réussit et gagna en autonomie. Connaissant les faiblesses humaines, le Prophète (PSL) l’accompagna dans cette transition vers l’initiative, renforçant sa confiance et sa capacité à affronter les défis.
Le combat contre l’impuissance commence en soi : affermir sa volonté, maîtriser ses désirs, s’astreindre à la patience, imposer une discipline à son corps et à ses agissements. Le « Ne t’affaiblis pas » prophétique signifierait, entre autres : poursuis l’effort, accroche-toi à ce que tu peux faire et contrôler, sois patient face à la fatigue et aux obstacles, et ne laisse pas les circonstances éteindre ton esprit d’initiative.
Ne pas ouvrir la porte à l’œuvre de Satan
L’œuvre de Satan consiste à semer le désespoir et la contestation du destin divin. Certains, par peur de l’échec, choisissent la passivité. Le Prophète, paix et salut à lui, rassurait pourtant : « Tout fils d’Adam commet des fautes, et les meilleurs de ces fautifs sont ceux qui se repentent continuellement. » (Rapporté par Ibn Majah et Tirmidhi) Le croyant fort reconnaît son imperfection, se corrige et repart avec une volonté renouvelée.
Après la bataille de Mu’ta, certains appelèrent les compagnons « fuyards ». Le Prophète (PSL) répondit : « Ce ne sont pas des fuyards, mais des combattants qui reviendront à l’assaut, si Dieu le veut. » Ainsi, face aux épreuves, le croyant ne s’attarde pas sur le « si » ni sur les mystères du destin, mais confie son affaire à Dieu et croit que Son choix, même voilé, est toujours un bien.
Ainsi, le croyant faible, dominé par ses émotions, peut évoluer vers une personnalité agissante et influente, alliant action et invocation, maîtrise et humilité, planification et acceptation du destin. Il devient fort dans la foi, compétent dans son œuvre, constant face aux défis, avec une confiance profonde et une bonne opinion de son Seigneur.
*****
Première parution sur le site de Participation et Spiritualité Musulmanes (PSM).
Lire aussi :
La difficulté avec une facilité, une promesse de Dieu
Comprendre le langage de Dieu
L’épreuve de l’attente face au décret divin, un défi pour le croyant
Le comportement du musulman face à l’adversité. Quelques enseignements prophétiques et clés pour en sortir renforcé
Après la bataille de Mu’ta, certains appelèrent les compagnons « fuyards ». Le Prophète (PSL) répondit : « Ce ne sont pas des fuyards, mais des combattants qui reviendront à l’assaut, si Dieu le veut. » Ainsi, face aux épreuves, le croyant ne s’attarde pas sur le « si » ni sur les mystères du destin, mais confie son affaire à Dieu et croit que Son choix, même voilé, est toujours un bien.
Ainsi, le croyant faible, dominé par ses émotions, peut évoluer vers une personnalité agissante et influente, alliant action et invocation, maîtrise et humilité, planification et acceptation du destin. Il devient fort dans la foi, compétent dans son œuvre, constant face aux défis, avec une confiance profonde et une bonne opinion de son Seigneur.
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Première parution sur le site de Participation et Spiritualité Musulmanes (PSM).
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