Commentaires
Premier Janvier
le 19/12/2020 à 09:46
Républicanisme (liberté) selon l'idée que l'on s'en fait on peut en entendre deux variantes. Soit va te faire cuire le cul soit amen. Lol.
Premier Janvier
le 19/12/2020 à 06:24
L'insulte vis à vis des idéaux si l'on en dit qu'elle est permis devrait pouvoir en être dans tous les cas.
S'il était vrai que l'on peut insulter les principes, les codes, le républicanisme devrait pouvoir en être comme les autres.
Le républicanisme est une valeur. Un principe.
Elle est un idéal comme les autres. Un inatteignable donc.
Pour dire ce qu'il est, des garants sont nommés, élus.
Qui confondent leurs titres, leurs fonctions et leurs personnes.
Qui confondent incarner et être.
Qui en font donc une sacralité, une religion comme les autres.
Abdoulaye
le 18/12/2020 à 14:24
@premier janvier
Bien vu, vous avez raison. Le blasphème contre la république est interdit.
Premier Janvier
le 17/12/2020 à 23:22
Blasphème signifie insulte.
Chez nous on peut insulter à tour de bras les convictions religieuses be cause elles ne sont pas pour tous. Ce n'est donc pas une insulte.
Et c'est un athée qui parle.
Insulter la république par contre ça devient moins rock n'roll.
Tout de suite vous en devenez un. De blasphémateur. Mort de rire.
J'en entends d'ici dire, mais c'est normal. Elle a des valeurs. Elle. Lol.
Abdoulaye
le 17/12/2020 à 21:56
Par contre Sarah Bouhaddi, la gardienne de l'équipe de France et de Lyon dont la famille est originaire d'Algerie vient d'être désignée comme la meilleure gardienne européenne de l'année...
Voilà une bonne nouvelle et une fierté pour l'immigration française.
Abdoulaye
le 16/12/2020 à 21:39
Qu'il vienne jouer en France...
Il aura des félicitations..
Peut-être une prime ??
En Italie, un joueur de l'AS Roma suspendu pour blasphème
Rédigé le 16/12/2020
Myriam Attaf
Le milieu de terrain de l’AS Roma, Bryan Cristante, ne disputera pas le prochain match de championnat opposant son équipe à Torino jeudi 17 décembre. La Ligue italienne de football, la Lega Serie A, a annoncé, lundi 14 décembre, que le jeune homme a été suspendu pour blasphème. Elle lui reproche d’avoir « prononcé une expression blasphématoire » à la 23e minute de la première mi-temps lors du match contre Bologne dimanche 13 décembre, après qu’il a marqué un but contre son camp.
Dans un communiqué publié lundi 14 décembre, la Ligue affirme que « le joueur en question a été clairement capté par les images télévisées en train de prononcer une expression blasphématoire identifiable et audible sans que cela ne laisse place à un quelconque doute raisonnable. », sans préciser les propos incriminés.
Bryan Cristante n’est pas le premier joueur à faire face à ce type d'accusation dans le monde du sport italien. En 2018, l'international italien de l'Udinese, Rolando Mandragora, avait écopé d’un match de suspension après avoir insulté la Vierge Marie et comparé Dieu à un chien. Le capitaine du rugby italien, Sergio Parisse, a aussi été contraint de s'excuser après avoir été filmé en train de prononcer une phrase blasphématoire avant un match des Six Nations contre la France.
La Fédération italienne de football, qui interdit aux joueurs le port de T-shirts affichant des messages personnels à leur famille ou faisant référence à leurs croyances religieuses, rend le blasphème passible de sanctions disciplinaires depuis 2010, rappelle La Croix. Une réglementation conforme au Code pénal italien dans lequel figure plusieurs articles de loi condamnant le blasphème. Le délit est néanmoins très rarement reconnu par la loi. Selon la Fédération italienne, les joueurs qui portent des T-shirts affichant des messages personnels à leur famille ou qui font référence à leurs croyances religieuses sont également punis.
Lire aussi :
Don Diego Maradona et le royaume de Naples
[Un clip contre le racisme dans le football dévoilé par la LFP (vidéo)
Dans un communiqué publié lundi 14 décembre, la Ligue affirme que « le joueur en question a été clairement capté par les images télévisées en train de prononcer une expression blasphématoire identifiable et audible sans que cela ne laisse place à un quelconque doute raisonnable. », sans préciser les propos incriminés.
Bryan Cristante n’est pas le premier joueur à faire face à ce type d'accusation dans le monde du sport italien. En 2018, l'international italien de l'Udinese, Rolando Mandragora, avait écopé d’un match de suspension après avoir insulté la Vierge Marie et comparé Dieu à un chien. Le capitaine du rugby italien, Sergio Parisse, a aussi été contraint de s'excuser après avoir été filmé en train de prononcer une phrase blasphématoire avant un match des Six Nations contre la France.
La Fédération italienne de football, qui interdit aux joueurs le port de T-shirts affichant des messages personnels à leur famille ou faisant référence à leurs croyances religieuses, rend le blasphème passible de sanctions disciplinaires depuis 2010, rappelle La Croix. Une réglementation conforme au Code pénal italien dans lequel figure plusieurs articles de loi condamnant le blasphème. Le délit est néanmoins très rarement reconnu par la loi. Selon la Fédération italienne, les joueurs qui portent des T-shirts affichant des messages personnels à leur famille ou qui font référence à leurs croyances religieuses sont également punis.
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