« Dis-moi ce que tu manges, je te dirai en quoi tu crois. » Pour Arte, la réalisatrice suisse Catharina Klebe s'est rendue dans cinq régions du monde pour observer l'influence des préceptes religieux sur la cuisine des croyants. Une série de reportages informatifs et non dénués d'humour sur les relations entre cuisine et religion.
C’est une certitude, on ne mange pas les mêmes choses ni de la même manière en Europe, en Inde, en Afrique, en Asie ou encore en Amérique. Mais la diversité des religions dans les cinq continents y est-elle pour quelque chose ? C’est la question que s’est posée Catharina Kleber et à laquelle elle répond dans une série documentaire de cinq épisodes disponible jusqu'au 23 juin sur Arte, qui nous entraine en Iran, en Inde, en Europe, aux Etats-Unis et au Japon.
Et l’on découvre que nos assiettes en disent long sur nos croyances. En Inde, les offrandes doivent comporter un dessert car les dieux aiment tout particulièrement le sucre. On apprend aussi que le savoir tiré des Saintes Ecritures s’est transmis à la cuisine. D’anecdotes en découvertes, les cinq épisodes nous permettent de comprendre comment sont reliées les religions et la cuisine. Sans oublier la façon dont certains ont su contourner des interdits religieux ou imposés par la loi, comme en Iran.
En Europe aussi, on ne cuisine pas de la même façon suivant que l’on croit ou pas et surtout selon que l’on est un simple croyant ou si la foi est au centre de notre vie. D’une durée d'environ trente minutes chacun, les cinq épisodes de cette série documentaire sont riches en découvertes issues du quotidien des habitants de cette planète. Toutes les personnes rencontrées par la réalisatrice sont heureuses de montrer leur savoir-faire et de partager leurs pratiques.
Les moments cocasses ne sont pas oubliés. Il faut voir la réaction des « goûteurs » européens parfois. Les plats inventés dans une autre partie du monde réservent forcément des surprises car les goûts et les papilles européennes ne sont pas habitués à certaines odeurs ou consistances. Les épices ne sont pas aussi nombreuses et utilisées chez nous qu’en Orient. Pas de mets à base d’ingrédients fermentés à Paris, alors qu’ils sont nombreux à Tokyo. Une manière très originale et plaisante d’aborder la diversité des traditions culturelles et religieuses qui enrichissent le monde.
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