Après des années d’un bras de fer avec les autorités, l'association Irchad, gestionnaire de l’Institut Ibn Badis à Nanterre, dans les Hauts-de-Seine, pousse un grand ouf de soulagement. Elle a annoncé, vendredi 7 novembre, l'acquisition du site de l'ancienne école élémentaire des Fontenelles, anciennement centre de formation de l'AFPA, situé aux 229 et 231 avenue Georges-Clemenceau à Nanterre. La signature de l'acte de vente a eu lieu le jour même à la mairie de Nanterre.
« Cet aboutissement, fruit de six années de démarches juridiques et administratives, marque une étape majeure pour notre association, qui souhaite ainsi répondre aux besoins spirituels, éducatifs et citoyens des habitants musulmans de Nanterre », indique l’association, qui informe que « cette opération immobilière porte sur une parcelle de 4 036 m2, comprenant un bâtiment de 2 556 m2, pour un montant total de 3 640 000 €, auxquels s'ajoutent 271 000 € de frais notariés ».
« Le site fera l'objet d'une réhabilitation complète afin d'offrir un accueil digne, sécurisé et conforme aux attentes du public », ajoute les responsables de l’institut, qui ont remercié le maire (DVG) Raphaël Adam et son équipe « pour leur soutien constant dans la réalisation de ce projet d'intérêt collectif ». Et de conclure : « Par cette acquisition, Nanterre se dote d'un équipement structurant, favorisant le vivre-ensemble et contribuant à la cohésion sociale du territoire. Là où certains choisissent d'élever des murs, nous continuerons, ensemble, à bâtir des ponts ».
« Par cette vente, la Ville de Nanterre réaffirme son engagement pour le libre exercice du culte et l’égalité entre les religions, piliers essentiels de la laïcité républicaine », a fait part, de son côté, le maire sur ses réseaux sociaux. « À Nanterre, la laïcité n’est pas un outil d’exclusion, mais un puissant levier du vivre-ensemble, telle qu’elle a été pensée en 1905. »
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Nanterre : pourquoi la justice met un nouveau coup d’arrêt au projet d’extension de la mosquée Ibn Badis
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« Le site fera l'objet d'une réhabilitation complète afin d'offrir un accueil digne, sécurisé et conforme aux attentes du public », ajoute les responsables de l’institut, qui ont remercié le maire (DVG) Raphaël Adam et son équipe « pour leur soutien constant dans la réalisation de ce projet d'intérêt collectif ». Et de conclure : « Par cette acquisition, Nanterre se dote d'un équipement structurant, favorisant le vivre-ensemble et contribuant à la cohésion sociale du territoire. Là où certains choisissent d'élever des murs, nous continuerons, ensemble, à bâtir des ponts ».
« Par cette vente, la Ville de Nanterre réaffirme son engagement pour le libre exercice du culte et l’égalité entre les religions, piliers essentiels de la laïcité républicaine », a fait part, de son côté, le maire sur ses réseaux sociaux. « À Nanterre, la laïcité n’est pas un outil d’exclusion, mais un puissant levier du vivre-ensemble, telle qu’elle a été pensée en 1905. »
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